Johnny Hallyday décédé : retour sur 5 titres de légendes !

Décédé après une longue bataille contre le cancer, Johnny Hallyday ne chantera plus. Immense star, icône française et partie à part entière de notre culture, Johnny laisse derrière lui un héritage long comme le bras. Découvrant le rock grâce à Elvis, Hallyday aura su, avec patience, imposer son style au fil des années.

C’est sa femme, Laetitia qui aura annoncé son décès, via un communiqué sobre mais terriblement touchant : « Johnny Hallyday est parti. Jean-Philippe Smet est décédé dans la nuit du 5 décembre 2017. J’écris ces mots sans y croire. Et pourtant, c’est bien cela. Mon homme n’est plus. Il nous quitte cette nuit comme il aura vécu tout au long de sa vie, avec courage et dignité. Jusqu’au dernier instant, il a tenu tête à cette maladie qui le rongeait depuis des mois, nous donnant à tous des leçons de vie extraordinaires. Le cœur battant si fort dans un corps de rocker qui aura vécu toute une vie sans concession pour la scène, pour son public, pour ceux qui l’adulent et ceux qui l’aiment. » Retour sur une immense carrière.

Le premier de ses titres phares ? Je te promets. Écrite par Goldman pour l’album Gang en 1986 il s’agit du premier gros tube du boss.

L’envie. L’envie est un classique que Johnny Hallyday a depuis chanté lors de presque tous ses concerts.

Quelque chose de Tennessee. De nombreuses personnes pensaient qu’il parlait de l’état des Etats-Unis, mais rien à voir. Le rockeur parlait en fait de l’écrivain Tennessee Williams. Signée Michel Berger, on retrouvera ce titre sur l’album Rock n’Roll Attitude.

Que je t’aime. Chanson d’amour, ballade langoureuse, ce titre aura soigné bien des chagrins d’amour : « Quand tes cheveux s’étalent, comme un soleil d’été »… Que je t’aime est resté onze semaines numéro 1 des meilleures ventes et a dynamité l’année 1969 !

Gabrielle.  Adaptation de The King is Dead de Tony Cole, Gabrielle aura fait apparaître un geste bien particulier dans la mythologie d’Hallyday… « J’ai refusé de mourir d’amour enchaîné » et croiser les poignets… C’est ça le rock.